vendredi 7 décembre 2012

FÊTES DE FIN D'ANNÉE


Les fêtes de fin d’année approchent et je ne veux pas être retard pour vous présenter mes vœux de JOYEUSES FÊTES DE FIN D’ANNÉE et vous souhaiter à tous le plus grand bonheur…
J’espère que la lecture de mon roman puisse contribuer à ce même bonheur ! Bien à vous, Laurette

CINÉMA INDIAN

lundi 5 novembre 2012

SALON DU LIVRE


Dernièrement j’ai participé à mon premier Salon du Livre. Cela s’est passé à Mareuil-sur-Aÿ, jolie petite commune tout près de la ville d’Épernay.

Ce fut une expérience très intéressante que je renouvellerai certainement, car on y rencontre non seulement des collègues avec lesquelles on peut échanger des points de vue, mais aussi un public avide de renseignements et de lecture.

Le contact humain est très agréable.

Que l’on vende beaucoup ou peu d’exemplaires, cela reste une expérience saisissante et très utile, pour me faire connaître et faire connaître mes œuvres.

Voici un petit souvenir du Salon.


lundi 1 octobre 2012

L'AVIS DE MES LECTEURS


(Commentaires envoyés dans ma boîte Mail)

Chère Madame, je n’ai pas pour habitude de verser des larmes, quand je lis un roman… En lisant votre “Destin de Maya”, je n’ai pas pu éviter une larme ! En effet, l’émotion est grande tout le long de votre roman.
Comment arrivez-vous à donner autant d’émotion avec des paroles simples ?
Je suis persuadé qu’il y a du vécu dans votre récit…
Continuez à nous surprendre. Je suis vraiment enchanté par cette lecture que je ne pensais pas faire, pourtant…
Je dois remercier une amie qui m’a “obligé” à le lire.
Bonne chance pour la suite, Madame Laurette Rocha.
Albert, B.

Chère Laurette,
Nous ne nous connaissons pas, mais après avoir lu votre “Destin de Maya”, je me sens un peu proche de vous, car j’ai vécu une histoire qui ressemble beaucoup à la vôtre, à quelques différences près…
Je peux vous avouer que j’ai versé quelques larmes…
Continuez à nous donner ces émotions qui nous font un peu rêver et même à revivre des situations précises, comme je l’ai dit plus haut…
Je vous souhaite bon courage pour la suite, dans l’attente de vous lire une fois encore !
Laurence

Chère Laurette,
Je vis de l’autre côté de la terre, par rapport à vous… Je visite de temps à autre votre blog et j’ai demandé à une amie d’acheté votre roman “Le destin de Maya” et de me l’envoyer...
Je suis entièrement conquise par la simplicité de votre roman : il n’y a pas de mots “savants” ou des phrases alambiquées : tout est vraiment simple, car vous semblez écrire comme vous parlez, ce qui est une “vert”, à mon humble avis.
J’ai beaucoup aimé votre roman, mais je dois vous faire une “confidence” : Poja est vraiment une épouse très “soumise” et d’une grande gentillesse… Moi, je peux vous le dire, je n’agirais pas de la même façon avec une rivale !...
Merci pour ce moment d’émotion.
J’ai hâte de lire la suite… Car je veux la lire…
Ceux qui ne connaissent pas votre roman, ne savent pas ce qu’ils perdent…
Bon courage à vous.
Éliane Aurélie, Australie.

mardi 19 juin 2012

UN ARTICLE SUR “LE DESTIN DE MAYA”


Bonjour, mes amis,

Je suis heureuse de vous informer que le journal L’Union de ce dimanche 17 juin 2012 vient de publier un article sur moi et sur mon deuxième roman, “Le destin de Maya”.

Malgré quelques petites erreurs (Paulette au lieu de Laurette et Roja au lieu de Poja), il me semble un bel article.

Je dois vous informer également que l’Éditeur n’est pas Éditions du Panthéon (éditeur de mon premier roman) mais moi-même.

Je vous souhaite une bonne lecture, en suivant le lien ci-après :


Laurette Rocha

jeudi 31 mai 2012

FRAIS DE PORT


Chers amis,
Étant donné le nombre de livres expédiés, les frais de port se limitent dorénavant à 2 €, ce qui me permet également de vous proposer mon ouvrage au prix rond de 20€, toutes taxes comprises.
En résumé : vous me faites parvenir un chèque de 20€ et par retour du courrier, je vous enverrez “Le destin de Maya”, dédicacé si vous en faites la demande.
Laurette Rocha
12, rue Boudet
51100 REIMS

dimanche 29 avril 2012

LES CHOSES SE COMPLIQUENT...


Extrait de “Le destin de Maya”

Telle que vous me verrez dans le Journal “L'Union” de Reims
Raoul qui ne pouvait pas passer un jour sans voir le bébé, rendait visite à sa fille tous les jours, en sortant de son travail, avant même de rentrer chez lui.
Cette préoccupation intriguait un peu Maya, non pas que son père vienne la voir tous les jours, mais la façon dont il regardait le bébé et elle-même : il semblait pensif à ces moments-là, comme si quelque chose le tourmentait.
Elle aurait bien aimé lui demander le pourquoi de cet état, mais elle ne voulait, en aucune façon, raviver en lui de vieux souvenirs qui semblaient pourtant le hanter.
Il passait de longs moments tenant Préty dans ses bras, la regardant et l’embrassant fréquemment avec une indicible tendresse : alors, il semblait vraiment heureux.
Un soir où il s’attarda davantage, Maya l’invita à manger avec elle et, bien entendu Raoul accepta aussitôt : c’était une bonne occasion pour lui de rester encore un bon moment auprès de sa fille et de sa petite-fille. Mais, ce soir-là ni Maya ni Raoul pensèrent à prévenir Poja.
Le repas terminé, Raoul prit congé des deux êtres qu’il aimait le plus. Il semblait heureux de la soirée qu’il venait de passer avec elles.
— Merci, chérie, à demain.
Pendant ce temps Poja attendait Raoul. Elle avait préparé le repas, mit la table, car son mari n’arrivait jamais en retard, en quittant son travail. Elle non plus n’avait pas eu l’idée de téléphoner chez Maya.
— Où es-tu allé, Raoul ? demanda-t-elle dès que son mari entra. Je commençais à m’inquiéter.
— Mais, ma chérie, chez notre fille.
— Viens manger... c’est certainement déjà froid, dit Poja résignée, sans demander d’autres explications.
— Mais, j’ai déjà mangé, Poja, chez notre fille.
— Je suppose que le téléphone était en panne, dit Poja avec humour. Tu aurais pu au moins me téléphoner. Je suis surprise que Maya ne l’ai pas fait elle-même.
— Excuse-moi, Poja, j’étais si enthousiasmé avec Préty que j’ai tout oublié.
Poja remarqua que Raoul semblait pensif et même quelque peu perturbé. Elle lui demanda :
— Qu’est-ce que tu as, Raoul ?
— Mais, je n’ai rien, Poja.
Poja se sentait blessée du fait que Raoul ne lui ait pas téléphoné et lui dit :
— Chéri, tu savais bien que je t’attendais, dit-elle. Je passe mes journées entre ces quatre murs en t’attendant, afin que tu me tiennes compagnie et tu n’as même pas eu deux minutes pour me téléphoner ! Que se passe-t-il ? Tu ne me sembles pas le même. Je t’aime, Raoul !
— Ne t’énerve pas, cela suffit pour aujourd'hui.
Mais Poja voyait bien qu’il y avait quelque chose… Elle insistait lourdement, car elle voulait à tout prix savoir ce qui se passait, car elle n'aimait pas le voir dans cet état.
Raoul, de son côté, ne voulait aucunement avouer à son épouse ce qui le tourmentait alors et, pensant pouvoir couper court à toutes ses interrogations, il alla dans le jardin. Mais il s’était trompé, car Poja le suivit et remarqua qu’il s’essuyait les yeux. Elle s’approcha de lui et, quand elle allait lui parler, Raoul lui dit d’une façon presque violente :
— Fiche-moi la paix, Poja !
(…)
Afin que la conversation avec Poja prenne fin, il revint dans la maison, prit sa veste et sortit, sans rien dire d’autre. Poja était de plus en plus étonnée, mais elle pensait qu’il reviendrait bien vite. Mais les heures passèrent et Raoul ne rentrait toujours pas. La tristesse qu’il ressentait et la curiosité de savoir ce que sa fille avait ramené du Portugal, le conduisirent vers la maisonnette au fond du jardin de ses parents.
— C’est le moment de visiter la maison, dit Raoul à lui-même. Je pourrai peut-être découvrir ce qu’elles ont caché ce jour-là !
Laurette Rocha