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| À la "Fête du Livre" à Fismes (51) le 5 mai 2013 |
Chère Madame,
J’ai lu votre dernier roman, « Le destin
de Maya » et je me suis rendu compte qu’il était la suite de votre premier
roman, « Un amour éternel ».
Malgré qu’il soit dit que l’on peut lire le
deuxième sans avoir besoin d’avoir lu le premier (ce qui est vrai), je me suis
procuré aussi le premier.
Une question :
— Comment faites-vous pour donner autant
d’émotion à vos récits ?
Je suis un homme, mais je n’ai pas honte de
dire que j’ai pleuré au dernier chapitre de votre premier livre et aussi à la
fin du deuxième…
Je ne sais pas si vous avez beaucoup de
lecteurs, mais je peux vous affirmer et confirmer ce que l’on dit souvent :
«Les absents ont toujours tort ».
Ceux qui n’ont pas encore lu vos deux livres,
devraient le faire, car ils sont excellents du point de vue émotionnel.
Je tenais à vous le dire, Madame, et à vous
remercier pour ces moments agréables que j’ai pu passer en vous lisant.
Je vous souhaite bien des succès.
Pierre Edmond B.
