Chère Madame,
J'ai trouvé votre livre très agréable à lire. Dommage que le titre de chaque chapitre nous donne à l'avance la suite de cette belle histoire.
Néanmoins ce fut un grand plaisir.
BRAVO
Bien sincèrement à vous,
Annick
lundi 24 décembre 2012
vendredi 7 décembre 2012
FÊTES DE FIN D'ANNÉE
Les fêtes de fin d’année approchent et je ne veux pas être retard pour vous présenter mes vœux de JOYEUSES FÊTES DE FIN D’ANNÉE et vous souhaiter à tous le plus grand bonheur…
J’espère que la lecture de mon roman puisse contribuer à ce même bonheur !
Bien à vous,
Laurette
lundi 5 novembre 2012
SALON DU LIVRE
Dernièrement j’ai participé à mon premier Salon du Livre. Cela
s’est passé à Mareuil-sur-Aÿ, jolie petite commune tout près de la ville d’Épernay.
Ce fut une expérience très intéressante que je renouvellerai
certainement, car on y rencontre non seulement des collègues avec lesquelles on
peut échanger des points de vue, mais aussi un public avide de renseignements
et de lecture.
Le contact humain est très agréable.
Que l’on vende beaucoup ou peu d’exemplaires, cela reste une
expérience saisissante et très utile, pour me faire connaître et faire
connaître mes œuvres.
Voici un
petit souvenir du Salon.
lundi 1 octobre 2012
L'AVIS DE MES LECTEURS
(Commentaires envoyés dans ma boîte Mail)
Chère Madame, je n’ai pas pour habitude de verser des
larmes, quand je lis un roman… En lisant votre “Destin de Maya”, je n’ai pas pu
éviter une larme ! En effet, l’émotion est grande tout le long de votre
roman.
Comment arrivez-vous à donner autant d’émotion avec des
paroles simples ?
Je suis persuadé qu’il y a du vécu dans votre récit…
Continuez à nous surprendre. Je suis vraiment enchanté par
cette lecture que je ne pensais pas faire, pourtant…
Je dois remercier une amie qui m’a “obligé” à le lire.
Bonne chance pour la suite, Madame Laurette Rocha.
Albert, B.
Chère Laurette,
Nous ne nous connaissons pas, mais après avoir lu votre
“Destin de Maya”, je me sens un peu proche de vous, car j’ai vécu une histoire
qui ressemble beaucoup à la vôtre, à quelques différences près…
Je peux vous avouer que j’ai versé quelques larmes…
Continuez à nous donner ces émotions qui nous font un peu rêver
et même à revivre des situations précises, comme je l’ai dit plus haut…
Je vous souhaite bon courage pour la suite, dans l’attente
de vous lire une fois encore !
Laurence
Chère Laurette,
Je vis de l’autre côté de la terre, par rapport à vous… Je
visite de temps à autre votre blog et j’ai demandé à une amie d’acheté votre
roman “Le destin de Maya” et de me l’envoyer...
Je suis entièrement conquise par la simplicité de votre
roman : il n’y a pas de mots “savants” ou des phrases alambiquées :
tout est vraiment simple, car vous semblez écrire comme vous parlez, ce qui est
une “vert”, à mon humble avis.
J’ai beaucoup aimé votre roman, mais je dois vous faire une
“confidence” : Poja est vraiment une épouse très “soumise” et d’une grande
gentillesse… Moi, je peux vous le dire, je n’agirais pas de la même façon avec
une rivale !...
Merci pour ce moment d’émotion.
J’ai hâte de lire la suite… Car je veux la lire…
Ceux qui ne connaissent pas votre roman, ne savent pas ce qu’ils
perdent…
Bon courage à vous.
Éliane Aurélie,
Australie.
mardi 19 juin 2012
UN ARTICLE SUR “LE DESTIN DE MAYA”
Bonjour, mes amis,
Je suis heureuse de vous informer que le journal L’Union de
ce dimanche 17 juin 2012 vient de publier un article sur moi et sur mon
deuxième roman, “Le destin de Maya”.
Malgré quelques petites erreurs (Paulette au lieu de
Laurette et Roja au lieu de Poja), il me semble un bel article.
Je dois vous informer également que l’Éditeur n’est pas
Éditions du Panthéon (éditeur de mon premier roman) mais moi-même.
Je vous souhaite une bonne lecture, en suivant le lien
ci-après :
Laurette Rocha
jeudi 31 mai 2012
FRAIS DE PORT
Chers amis,
Étant donné le nombre de livres expédiés, les frais de port se
limitent dorénavant à 2 €, ce qui me
permet également de vous proposer mon ouvrage au prix rond de 20€, toutes taxes comprises.
En résumé : vous me faites parvenir un chèque de 20€ et par retour du courrier, je vous
enverrez “Le destin de Maya”,
dédicacé si vous en faites la demande.
Laurette Rocha
12, rue Boudet
51100 REIMS
dimanche 29 avril 2012
LES CHOSES SE COMPLIQUENT...
Extrait de “Le destin de Maya”
Telle que vous me verrez dans le Journal “L'Union” de Reims |
Raoul qui ne pouvait pas passer un jour sans voir le bébé,
rendait visite à sa fille tous les jours, en sortant de son travail, avant même
de rentrer chez lui.
Cette préoccupation intriguait un peu Maya, non pas que son
père vienne la voir tous les jours, mais la façon dont il regardait le bébé et
elle-même : il semblait pensif à ces moments-là, comme si quelque chose le
tourmentait.
Elle aurait bien aimé lui demander le pourquoi de cet état,
mais elle ne voulait, en aucune façon, raviver en lui de vieux souvenirs qui
semblaient pourtant le hanter.
Il passait de longs moments tenant Préty dans ses bras, la
regardant et l’embrassant fréquemment avec une indicible tendresse :
alors, il semblait vraiment heureux.
Un soir où il s’attarda davantage, Maya l’invita à manger
avec elle et, bien entendu Raoul accepta aussitôt : c’était une bonne
occasion pour lui de rester encore un bon moment auprès de sa fille et de sa
petite-fille. Mais, ce soir-là ni Maya ni Raoul pensèrent à prévenir Poja.
Le repas terminé, Raoul prit congé des deux êtres qu’il
aimait le plus. Il semblait heureux de la soirée qu’il venait de passer avec
elles.
— Merci, chérie, à demain.
Pendant ce temps Poja attendait Raoul. Elle avait préparé le
repas, mit la table, car son mari n’arrivait jamais en retard, en quittant son
travail. Elle non plus n’avait pas eu l’idée de téléphoner chez Maya.
— Où es-tu allé, Raoul ? demanda-t-elle dès que
son mari entra. Je commençais à m’inquiéter.
— Mais, ma chérie, chez notre fille.
— Viens manger... c’est certainement déjà froid, dit
Poja résignée, sans demander d’autres explications.
— Mais, j’ai déjà mangé, Poja, chez notre fille.
— Je suppose que le téléphone était en panne, dit Poja
avec humour. Tu aurais pu au moins me téléphoner. Je suis surprise que Maya ne
l’ai pas fait elle-même.
— Excuse-moi, Poja, j’étais si enthousiasmé avec Préty que
j’ai tout oublié.
Poja remarqua que Raoul semblait pensif et même quelque peu
perturbé. Elle lui demanda :
— Qu’est-ce que tu as, Raoul ?
— Mais, je n’ai rien, Poja.
Poja se sentait blessée du fait que Raoul ne lui ait pas
téléphoné et lui dit :
— Chéri, tu savais bien que je t’attendais, dit-elle. Je
passe mes journées entre ces quatre murs en t’attendant, afin que tu me tiennes
compagnie et tu n’as même pas eu deux minutes pour me téléphoner ! Que se
passe-t-il ? Tu ne me sembles pas le même. Je t’aime, Raoul !
— Ne t’énerve pas, cela suffit pour aujourd'hui.
Mais Poja voyait bien qu’il y avait quelque chose… Elle
insistait lourdement, car elle voulait à tout prix savoir ce qui se passait,
car elle n'aimait pas le voir dans cet état.
Raoul, de son côté, ne voulait aucunement avouer à son
épouse ce qui le tourmentait alors et, pensant pouvoir couper court à toutes
ses interrogations, il alla dans le jardin. Mais il s’était trompé, car Poja le
suivit et remarqua qu’il s’essuyait les yeux. Elle s’approcha de lui et, quand
elle allait lui parler, Raoul lui dit d’une façon presque violente :
— Fiche-moi la paix, Poja !
(…)
Afin que la conversation avec Poja prenne fin, il revint
dans la maison, prit sa veste et sortit, sans rien dire d’autre. Poja était de
plus en plus étonnée, mais elle pensait qu’il reviendrait bien vite. Mais les
heures passèrent et Raoul ne rentrait toujours pas. La tristesse qu’il
ressentait et la curiosité de savoir ce que sa fille avait ramené du Portugal,
le conduisirent vers la maisonnette au fond du jardin de ses parents.
— C’est le moment de visiter la maison, dit Raoul à
lui-même. Je pourrai peut-être découvrir ce qu’elles ont caché ce
jour-là !
Laurette Rocha
jeudi 26 janvier 2012
LE DESTIN DE MAYA
(EXTRAIT)
Je suis heureuse, en attendant l’arrivée prochaine de mon deuxième roman, de vous offrir un court extrait de celui-ci :
La couverture du livre |
« Maya semblait plus empressée que jamais de montrer son amour envers Poja ; ses paroles étaient sincères et touchèrent profondément le cœur de sa mère.
— Je t’aime, ma petite maman, comme j’aime papa aussi. Tiens, en parlant de lui, il va bientôt arriver : tu ne veux pas que je lui en parle ?
— Non, Maya, je vais lui en parler, c’est préférable que ce soit moi, comprends-tu ?
— D’accord, maman, comme tu voudras ! Á demain.
Maya sortit rapidement, le cœur en joie : elle avait bien défendu son projet et réussi son entretien avec sa mère.
Quant à Poja, une fois seule, ses yeux se remplirent à nouveau de larmes et elle s’interrogeait : — “Comment vais-je raconter cela à Raoul ? Il va falloir que je lui parle une fois encore d’Angély, que je lui rappelle de vieux souvenirs, alors que je préférerais qu’il les oublie. Mon Dieu !...”
Mais il le fallait : Poja aimait tendrement Maya et lui avait promis de parler à Raoul au sujet de son projet, même si cela allait provoquer un autre problème presque inévitable : éveiller la curiosité de son mari.
Raoul, qui allait bientôt bénéficier de sa retraite, arriva à la maison ; il semblait en pleine forme et même joyeux. Il alla s’asseoir à côté de Poja et l’embrassa tendrement.
— Veux-tu boire quelque chose ? demanda Poja.
— Oui… un Porto, s’il te plaît.
— Ah ! Ah ! Cela tombe bien que tu veuilles boire un Porto...
— Ah ! Bon ! Et pourquoi, ma chérie ?
— Parce que j’ai quelque chose à te dire au sujet de notre fille et qui a aussi à voir avec Porto.
(…)
— Maya veut faire quelque chose de très particulier…
Raoul en entendant ces paroles devint sérieux, regarda fixement son épouse et lui dit :
— Je vois que c’est du sérieux et quelque chose qui m’intéresse vraiment. Raconte, je ne t’interromprai plus. »
La suite vous réserve des surprises…
Laurette
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